To be or not to be
Les mariages interlinguistiques sont monnaie courante. Dans les petites communautés, c’est toujours ça de gagné sur la consanguinité. Le français survit-il malgré tout ? « Je dirais oui », dit Claudette Baldwin, la bibliothécaire. « Je dirais non », répond Timo. Lui va à l’école française, au collège universiatire de Saint-Boniface. Un choix politique et financier. Au titre des droits des minorités à l’éducation, l’école française, subventionnée par le gouvernement fédéral, est moins chère. « Mes enfants parlent français, mais mes petits-enfants ne le parlent plus », avoue une autre. Ils habitents loin d’ici. Pas facile de conserver la langue en dehors de la communauté.
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