La queue de la baleine
On fonce à la recherche d’un autre spot, décapitant au passage les crêtes des vagues, coursant les mouettes. Ça gicle, ça secoue. Pour 30 cents, je peux m’acheter une belle carte postale de queue de baleine. Mais je n’aurai jamais le bruit du vent, l’odeur de la mer, le goût de l’eau salée. Ça y est. On en voit une, un peu plus distinctement. Elle vient de plonger, laissant une « footprint » (trace de pas !) à la surface de l’eau. J’ai un point sur mon appareil photo. Mon voisin laisse échapper un grand sourire.
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