La 17 Est, bientôt derrière moi
Je fais une pause, plus loin, au pied d’un panneau de la Transcanadienne 17 Est. Je me prends en photo. Après tout, je ne la reverrais bientôt plus.
La 17 devient la 417, se dédouble à l’approche d’Ottawa. Je roule sur le périph de la capitale, dans la purée que m’envoient les automobilistes qui me précèdent. Au milieu d’un brouillard de flotte, entre les balais d’essuie-glace, des points rouges changent de voie devant moi. Mais dans ma bagnole, j’ai un micro-climat. Y a du soleil et une nana. Le soleil c’est Stevie Wonder. La nana, c’est moi. Si je pouvais conduire debout, ma Ford Focus serait un dance-floor.
La 17 devient la 417, se dédouble à l’approche d’Ottawa. Je roule sur le périph de la capitale, dans la purée que m’envoient les automobilistes qui me précèdent. Au milieu d’un brouillard de flotte, entre les balais d’essuie-glace, des points rouges changent de voie devant moi. Mais dans ma bagnole, j’ai un micro-climat. Y a du soleil et une nana. Le soleil c’est Stevie Wonder. La nana, c’est moi. Si je pouvais conduire debout, ma Ford Focus serait un dance-floor.
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